Si le rôle de l’Afrique a été longtemps minimisé dans la guerre mondiale de l’information, de plus en plus d’« acteurs externes » mènent des opérations d’influence et de désinformation sur le continent. C’est le constat de l’édition 2020 de l’Africa Risk-Reward Index, mené conjointement par le cabinet Control Risks et NKC African Economics, filiale d’Oxford Economics – dont nous vous parlions dans notre dernière newsletter.
Depuis deux ans, Facebook a supprimé des comptes aux « comportements inauthentiques coordonnés » provenant d’acteurs externes – Iran, Israël, Russie, Emirats arabes unis et Arabie saoudite – ciblant au moins 23 pays africains. Des opérations désormais rendues possibles grâce à des individus locaux, ce qui rend plus difficile leur attribution, note le rapport.
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