Mercredi, la plateforme de Civictech GovChat sera officiellement lancée dans l’ouest du Ghana, plus précisément à Sekondi-Takoradi, la plus importante ville de la région. Une première étape avant une diffusion nationale. Bien connue en Afrique du Sud, GovChat puise sa force dans sa capacité à connecter les citoyens aux administrations en utilisant des interfaces que les populations connaissent déjà.
Dernier exemple en date : WhatsApp, que la plateforme a investi en septembre dernier dans son pays d’origine et grâce à laquelle les citoyens sud-africains auront accès « à plus de 10 000 représentants du secteur public », expliquait le ministre adjoint à la gouvernance coopérative, Andries Neil.
Le Ghana n’est pas pas la seule nouvelle terre de conquête de GovChat. La compagnie projette de se développer également en République démocratique du Congo et au Nigeria. Les discussions sont déjà bien engagées avec les gouvernements.
3 commentaires
[…] Lire également : le Sud-Africain GovChat s’exporte au Ghana […]
[…] Lire également : Le Sud-Africain GovChat s’exporte au Ghana […]
[…] GovChat, une plateforme civictech de dialogue avec les autorités (dont on vous a déjà parlé ici-même), accuse tout simplement l’application, qu’elle utilise, de vouloir l’évincer […]