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[Article issu de la Newsletter] Une fois n’est pas coutume à Teknolojia, nous allons parler d’échec. Des échecs même retentissants. Le site Digest Africa s’est plié à un petit recensement de startups africaines qui avaient tout pour réussir, mais qui ont dû mettre la clé sous la porte, quelques années après leur création. « En moyenne, chacune a mis quatre ans à échouer », lit-on dans cette enquête. La plus jeune, la startup égyptienne de covoiturage Ousta, n’ayant mis que quelques mois à jeter l’éponge.
Parmi les 16 exemples cités, il y a Wabona, une jeune société qui comme d’autres avait flairé le filon de la vidéo en ligne à la demande, quoiqu’un peu tardivement, en 2012. Cas classique : face à un secteur hyper-concurrentiel, la startup fondée par deux Sud-Africains n’a pu lever suffisamment de fonds pour tenir la distance. Trois ans après sa création, l’aventure s’est terminée.
Autre déception : la startup ghanéenne de beauté Tress, l’une des premières de toute l’Afrique à avoir été acceptée par l’incubateur Y Combinator et qui ne donne plus signe de vie.
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