Les accélérateurs américains parient (toujours) sur l’Afrique

[Article issu de la Newsletter] Cette semaine, il a beaucoup été question d’accélération dans la presse spécialisée. On a d’abord eu quelques nouvelles de l’un des accélérateurs les plus célèbres au monde, le californien Y Combinator, et de certains de ses apprentis africains. Une startup tanzanienne (Nala) et cinq nigérianes (dont Disrupt Africa révèle les identités) ont ainsi achevé la session d’hiver. Celles-ci ont sans doute des raisons de se réjouir : certaines des startups les plus prospères d’Afrique ont suivi ce programme, dont Kobo360 et Releaf.

Celles-là n’ont pas encore eu la chance de bénéficier d’un tel accompagnement mais ça ne saurait tarder : la Kényane Mums Village et la Sierra-Léonaise Mosabi ont été sélectionnées par Gray Matters Capital pour suivre un programme d’accélération aux côtés de sept autres startups venues du Vietnam et d’Inde. L’objectif du GMC Calibrator Programme est de faire du téléphone mobile un outil de promotion de l’auto-apprentissage pour gagner sa vie.

Enfin, quand on parle d’accompagnement, les géants de la Tech ne sont jamais loin et on a appris cette semaine la sélection d’une douzaine de startups en provenance de six pays du continent pour former la troisième cohorte du Google Launchpad Africa. L’idée ? Accompagner ces jeunes entreprises en les initiant aux outils et au savoir-faire Google. Le début de l’addiction ?

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