[Article issu de la Newsletter] La question de la prise en main par l’Afrique de son avenir numérique est plus prégnante à mesure que les GAFA et autres poids lourds de la Silicon Valley investissent le continent. Et la réaction viendra peut-être du Cameroun, où l’informaticien Alain Ekambi développe Dikalo, que beaucoup présentent comme le « WhatsApp africain ». L’entrepreneur souhaite ainsi que DIkalo deviennent, d’ici deux ans, « un réflexe comme Facebook, Snapchat, etc. Tout Africain devrait pouvoir l’employer, s’y sentir chez soi », souligne-t-il dans cette enquête publiée par le site CIO Mag.
L’application revendique une dizaine de milliers d’utilisateurs actifs, qui pour le moment, s’échangent simplement des messages. L’année prochaine, Alain Ekambi veut passer la vitesse supérieure en y intégrant une solution de transfert d’argent.
Mais la principale difficulté reste de convaincre les Africains de la nécessité d’adopter des technologies qui soient adaptées à leur réalité. « Le gros problème est de se servir des applications sans se préoccuper de leurs provenances et conditions. Les autres l’ont compris et pas nous en Afrique », regrette Alain Ekambi.
2 commentaires
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